L’histoire de mon (mal de) dos

Dans cette newsletter, je vous parle enfin de mon mal de dos qui ne va pas s’améliorer ces prochains mois / années. Cela fait des semaines que j’ai envie d’en parler, j’ai attendu d’aller un peu mieux mentalement à ce sujet pour l’aborder avec vous. Sans me victimiser ni sous-estimer le problème. Il est là, c’est ainsi.

Lucile Woodward Newsletter
3 min ⋅ 07/02/2025

Aussi dans cette newsletter : une run class à Marseille, et Moins manger : le podcast qui vous a fait ultra réagir cette semaine.

J’ai la spondylarthrite ankylosante

Salut tout le monde. Oui voilà je vous l’annonce en frontal. Sans trompettes ni tambours. J’ai mal au dos depuis une décennie. Et après des années d’errances médicales, le diagnostic est (enfin) tombé fin Août 2024.

C’est une maladie auto-immune comme il en existe des centaines. C’est très pénible, mais ça n’est pas ultra grave. Genre on n’en meurt pas, on vit avec, comme toute maladie auto-immune. Je pense que ça doit faire plus de 10 ans que j’ai mal au dos. En fait mon 1er gros mal de dos remonte à mes 22 ans. Douleurs lombaires. Petit pincement L5-S1 et le début des séances de kiné à n’en plus finir.

On me conseille de faire du sport, de renforcer les muscles des abdos, de nager… ça passe. Et puis en devenant coach sportif les douleurs de dos se sont vraiment estompées. Puis elles sont revenues. Avec les grossesses. Avec la trentaine. Avec les insomnies. Avec la fatigue. De plus en plus souvent. De plus en plus toujours au même endroit, milieu du dos pour moi.

Kiné, généraliste, ostéo, chiropracteur, anti-inflammatoire… Recommencer. Chacun son tour, ensemble, dans l’ordre et dans le désordre… Radios qui ne montrent rien, « tout le monde a mal au dos, c’est normal ! »…

Jusqu’à ce que je consulte une énième fois en Août dernier. Ma super généraliste / médecin du sport qui m’avait aidée en urgence par textos pendant mes vacances… Elle m’accorde une plus longue consultation.

Première prescription d’anti-dépresseurs.

Elle me demande surtout des infos sur ma santé mentale. Pourquoi est-ce que j’ai eu si mal en vacances ? Est-ce que j’ai été stressée pendant ce séjour en famille ? (Non au contraire !) Elle me propose des anti-inflammatoires encore, ET une première prescription d’anti-dépresseurs légers. Le 1er stade.

J’avoue qu’à ce moment de la consultation j’ai failli fondre en larme. Et j’ai accepté cette prescription.


Run Class à Marseille !

Début Avril, avec la team LW, nous allons passer 2 jours à Marseille pour travailler sur le SAV / relation des membres du club et des membres à la carte de l’application.

Parce que Constance (celle qui répond à vos mails sur l’appli) habite à Marseille et qu’on s’est dit qu’on allait en profiter ! On veut du SOLEIL !!!! Aussi, j’en profiterai pour venir vous voir en vrai le soir et vous proposer une run class au parc Borély.

Au menu : analyse de foulée, conseils personnalisés pour améliorer votre course, pratique des exercices de gammes et de ressenti d’une meilleure foulée.

Rejoignez-nous, il n’y a que 30 places.


Manger moins

C’est le podcast qui vous a fait le plus réagir ! Le Pr Boris Hansel, spécialiste incontesté de la nutrition et des maladies liées au surpoids a répondu à mes questions avec franchise et clarté.

On mange trop. Tous. Point.

Et le déni / surestimation des quantités de calories ingérées chaque jour sont omniprésents.

Oui je sais, ça ne fait pas forcément plaisir à entendre mais j’ai adoré son honnêteté. Il n’y a aucun jugement, aucune norme à respecter. Juste des faits médicaux, point barre. Une interview que je vous encourage à écouter, et qui remet les points sur les i.

MANGER MOINS ! : L'alimentation longévité sans tabou !MANGER MOINS ! : L'alimentation longévité sans tabou !


Merci pour votre fidélité à cette newsletter et pour les innombrables commentaires que vous mettez en bas de l’article de blog à chaque fois. Je lis tout, et je suis toujours très touchée par vos témoignages.

L’année 2025 sera run, sera swim, sera swimrun et festive. N’abandonnez pas le sport, jamais ! Je pense fort à vous,

Lucile.

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Par Lucile Woodward

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